La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel a été votée le 5 septembre 2018. Elle a été préparée bien en amont au sein de l’Assemblée Nationale où Catherine Fabre était l’une des 3 rapporteures du projet de loi et, j’étais moi même une des 2 rapporteures pour avis. Cette loi est entrée en vigueur le 1er janvier dernier.
Ma collègue parlementaire du département de la Gironde m’avait informé qu’elle organisait un tour de France sur celle loi .
C’est la raison pour laquelle, nous les député(e)s du Nord Finistère, lui avons proposé de faire une étape à Guipavas dans les locaux de l’Ifac.
J’avais invité l’ensemble des acteurs de l’apprentissage et de la formation en plus des entreprises et autres acteurs intéressés par cette thématique.
L’objectif de ces réunions publiques est d’aller à la rencontre des Français et de l’ensemble des acteurs de l’apprentissage et de la formation professionnelle sur tout le territoire, pour promouvoir cette loi et répondre aux questions qui se posent aujourd’hui.
Après une rapide présentation des principales mesures de cette réforme, Madame Catherine Fabre a pu répondre en fin de réunion aux interrogations sur les mesures qui ont été prises pour rendre encore plus attractif l’apprentissage, pour les apprentis ou pour les employeurs. Elle a aussi indiqué à l’auditoire sur les changement opérés par cette réforme sur la formation professionnelle : nouveau système, financement, nouveaux dispositifs et nouvelles instances.
Les échanges furent nombreux et de grande qualité. Ils ont permis de préciser certains points de la loi, de dissiper certaines craintes voire de faire remonter au cabinet du ministère du travail par la députée de Gironde les améliorations à apporter pour une meilleure efficience des divers décrets d’application sur le terrain au bénéfice de tous : apprenti(e)s, salarié(e)s, organismes de formation, branches professionnelles, opérateur de compétences, entreprises…